Ou plus exactement la vieillesse. L’idée classique est que le corps, à force de « trop servir », finit par se détériorer et par mourir. Le problème, c’est que cette image simple ne colle pas avec les données. Par exemple, on en a déjà parlé ici, mais quelques petites manips génétiques et zou… on double l’espérance de vie de vers, mouches ou autres souris ! Autrement dit, la mort n’est pas une fatalité (…); tout se passe comme si notre mort était en réalité programmée génétiquement. Mais comment expliquer cela évolutivement ?